Close

Les phenomènes naturels

Les Mégalithes.

Texte tiré du livre :      Druidisme – Les rituels    de Édith Gauthier


Les mégalithes , on le sait, bien que respectant certaines orientations liées au soleil et aux équinoxes ont été érigés antérieurement à la venue des Celtes en Europe, et datent de la civilisation des Mégalithes , dont on retrouve les vestiges dans le monde entier.

Ces pierres ont été réutilisées en leur temps, mais pourrait-on penser que les Druides seraient les héritiers de cette civilisation et en ce sens savaient les utiliser? Faits de granit, de mica ils transmettent une certaine énergie. Nous savons que les dolmens sont des boites de dérivation des courants telluriques, le nombre de pieds en indique le nombre, et la pointe vise la source. Une pierre de recharche est souvent encore dressée devant, à quelques mètres, ne jamais monter dessus,cela pourrait être dangereux et nous dévitaliser.

Les Menhirs seraient des aiguilles d’acupuncture sur le sol; en des points stratégiques, ils auraient permis aussi la communication entre tribus, grâce au mica contenu dans le granit, car lorsque les romains arrivaient , ils étaient attendus.

Pierres, Os de la Terre, elles représentent notre force, notre ossature: pierre de recharge, pierre aux fées pierres tremblantes, pierres à cupules, pierres guérisseuses, pierres noires; elles sont la matrice, et nous conduisent vers le sommet de la montagne sacrée afin de révéler le cristal en nous.


Les arbres

Texte de Mario Mercier . texte extrait du livre  » La nature et le sacré »

Pouvoirs et influences magiques des arbres.

« L’arbre est un foyer de forces agissantes. Sa lutte pour l’existence le rend fort et c’est par le contact direct avec la nature, notamment avec l’arbre, que l’on peut non seulement s’enrichir d’énergies neuves , mais également se transforme intérieurement. Imprégné de la puissance du lieu où il réside, représentant également cette puissance , l’arbre, en tant que médium entre la terre et le ciel – alors que l’homme l’est entre le ciel et la terre – est le détenteur de connaissances fabuleuses qui ne demandent qu’à s’infuser en nous. »

Un travail précis et spécifique sur l’arbre chêne est abordé pendant les stages en Art Sacré de la Terre. Information voir stage Art Sacré de la Terre.

Géobiologie Vincent Saas
L'Eau source de vie


« l’eau est source de vie et indispensable à notre survie ici sur cette belle Terre. La préserver est notre devoir Sacré, la partager et en disposer est le devoir de l’humanité. Un bien commun qui se répand jusque dans les profondeurs de notre terre intérieure pour nous faire grandir ensemble dans la fraternité. »

vincent Saas

Le père de grand-mère s’appelait Brown Hawk . Elle disait que sa compréhension était profonde. Il était capable de sentir la pensée des arbres. Un jour, racontait-elle, quand elle était encore une petite fille, son père fut troublé et dit que les chênes blancs sur la montagne étaient excités et effrayés. Il passait beaucoup de temps sur la montagne, à marcher parmi les chênes. Ils étaient très beaux, grands et droits. Ils n’étaient pas égoïstes et laissaient du terrain au sumac, au plaqueminier, au noyer et au marronnier pour nourrir les animaux sauvages. Ça leur donnait beaucoup d’esprit, de n’être pas égoïste, et cet esprit était puissant.

Grand-mère disait que son père était devenu si inquiet à propos des chênes qu’il allait marcher parmi eux la nuit, car il savait que quelque chose n’allait pas.

Alors, un matin, tôt, quand le soleil pointait au sommet de la montagne, Brown Hawk vit des bûcherons qui s’avançaient entre les chênes blancs pour les marquer et calculer comment ils allaient les couper tous. Quand ils partirent, raconta Brown Hawk, les chênes blancs commencèrent à pleurer. Et il ne pouvait plus dormir. Alors il observa les bûcherons. Ils construisaient une route qui montait vers la montagne pour y faire passer leurs chariots.

Grand-mère disait que son père parla aux Cherokees et qu’ils décidèrent de sauver les chênes blancs. Elle disait que la nuit, quand les bûcherons partaient pour retourner à leur village, les Cherokees allaient creuser de profondes tranchées en travers de la route. Les femmes et les enfants aidaient aussi….

Grand-mère disait que le combat était rude et qu’ils se fatiguèrent. Alors, un jour, quand les bûcherons travaillaient sur la route, un chêne blanc géant s’abattit sur un chariot. Il tua deux mules et écrasa le chariot. Elle disait que c’était un beau chêne blanc plein de vigueur et qu’il n’avait aucune raison de tomber, mais il l’avait fait.

Les bûcherons renoncèrent à essayer de construire la route. Les pluies du printemps arrivèrent…. Et ils ne revinrent jamais. Grand-mère disait que la lune devint pleine, et qu’il eut une fête dans le grand peuplement de chênes blancs. Ils dansèrent dans la pleine lune jaune, et les chênes blancs chantèrent et touchèrent leurs branches ensemble, et touchèrent les Cherokees. Grand-mère disait qu’ils avaient entonné un chant de mort pour le chêne blanc qui avait donné sa vie pour sauver les autres, et elle disait que c’était une sensation si forte qu’elle faillit être soulevée de la montagne. « Little Tree, disait-elle, ces choses, tu ne dois pas les raconter, car ça ne servirai à rien de les raconter dans ce monde qui est celui de l’homme blanc. Mais tu dois les savoir. Et c’est pourquoi je te les ai racontées. »

Auteur : TC Mc LUHAN   Cathédrales de l’esprit

Vincent SAAS : Portable 06 74 45 36 90